Firefox : comment activer le mode « HTTPS uniquement » pour surfer de façon plus sécurisée ?

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Le navigateur Web de Mozilla embarque un mode « HTTPS uniquement » offrant une sécurité supplémentaire durant votre navigation. Voici comment l’activer.

Depuis Firefox 83, les utilisateurs du navigateur Web de Mozilla ont la possibilité d’activer un mode « HTTPS uniquement ». Lorsque cette fonctionnalité est activée, Firefox tentera de charger automatiquement la version sécurisée du site que vous souhaitez consulter lorsqu’elle existe.

Et si toutefois il vous arrive de tomber sur un site web ne prenant pas en charge le protocole HTTPS, Firefox vous demandera au préalable votre autorisation avant de valider ou non le chargement de la page sur votre machine. Découvrez comment procéder pour activer le mode HTTPS uniquement dans Firefox.

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À découvrir aussi en vidéo

1. Ouvrez les Options

Ouvrez une fenêtre de Firefox et cliquez sur le menu principal figuré par trois traits superposés. Rendez-vous ensuite dans le menu Options pour accéder aux paramètres du navigateur.

2. Activez le Mode HTTPS uniquement

Dans la fenêtre des paramètres de Firefox qui s’affiche, placez-vous sur la section consacrée à la Vie privée et sécurité dans la colonne de gauche.

Faites ensuite défiler toutes les options affichées jusqu’en bas de la fenêtre. Vous y trouverez les options liées au Mode HTTPS uniquement.

Par défaut, ce mode est désactivé. Vous pourrez, au choix, choisir d’Activer le mode HTTPS uniquement dans toutes les fenêtres, ou d’Activer le mode HTTPS uniquement dans les fenêtres privées seulement.

3. Naviguez sur un site non sécurisé

S’il vous arrive de tomber sur un site non sécurisé, ne prenant pas en charge le protocole HTTPS, Firefox ne chargera pas la page sur votre machine et affichera une fenêtre d’avertissement.

Vous pourrez, si vous le souhaitez et avec les risques que cela peut impliquer, choisir de Continuer vers le site HTTP, ce qui aura pour effet de désactiver temporairement le mode HTTPS uniquement que vous avez activé.

Vous pourrez également cliquez sur l’icône figurant un cadenas dans la barre d’adresses de Firefox pour gérer directement l’activation de cette fonction dans le navigateur.

Source 01net.com

La santé balbutiante de la fondation Mozilla menace Firefox

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La mauvaise santé de la fondation Mozilla continue à menacer l’avenir du navigateur Firefox, lui-même en perte de vitesse. Une vraie menace pour ses utilisateurs.

Les nuages s’amoncellent au-dessus de la fondation Mozilla. Si son navigateur Firefox continue à être plébiscité par nombre d’utilisateurs, la fondation traverse aujourd’hui de graves turbulences. Et pas seulement d’ordre financier.

Dans son rapport annuel 2019, Mozilla parle beaucoup d’un « internet sain pour tous ». Mais cette bonne volonté affichée inclut-elle ses propres programmateurs ? Rappelons que Mozilla et Firefox produisaient encore jusqu’à il y a peu des travaux importants, comme les langages JavaScript, Rust et WebAssembly. Ils étaient également les champions de la sécurité et de la protection de la vie privée. Des projets comme DNS-over-HTTPS (DoH) et les améliorations générales de la sécurité s’annonçaient très intéressants. Jusqu’en 2020, année durant laquelle Mozilla a licencié de nombreux développeurs.

Pour commencer, la fondation a licencié certains de ses collaborateurs les plus expérimentés. Il s’agissait de développeurs de haut niveau, comme Liz Henry, alors responsable des versions de Firefox, et aujourd’hui responsable des versions de Twitch, la plateforme de streaming vidéoludique. Puis, en août, Mozilla a licencié près d’un quart de son personnel. L’équipe en charge de Rust a été particulièrement touchée. Mitchell Baker, PDG de Mozilla Corporation et président de la Fondation Mozilla, a attribué cette dernière vague à la pandémie de coronavirus.

Bâtir un nouveau modèle

Le dirigeant indiquait alors que « l’ancien modèle où tout était gratuit a des conséquences, ce qui signifie que nous devons explorer une série d’opportunités commerciales différentes et d’autres échanges de valeurs ».

Cependant, quelques jours seulement après les licenciements, Mozilla et Google ont prolongé de trois ans leur accord de recherche actuel. Ce nouvel accord garantira que Google reste le fournisseur de moteur de recherche par défaut dans le navigateur Firefox jusqu’en 2023, pour un montant estimé entre 400 et 450 millions de dollars par an.

Résultat : les revenus de Mozilla en 2019 ont été de 826,6 millions de dollars, soit une augmentation de 84 % d’une année sur l’autre, et sa meilleure année à ce jour. Pourtant, si l’on se penche de plus près sur l’exercice 2019 de la fondation, on remarque tout de même que Mozilla a comptabilisé 338 millions de dollars dans la rubrique « Autres revenus ». Cet argent provient de Verizon, dans le cadre d’un règlement judiciaire où Mozilla a choisi de se retirer de son contrat avec Yahoo après son acquisition par Verizon.

Une santé financière balbutiante

Si l’on laisse de côté les fruits de ce litige, la quasi-totalité des revenus de Mozilla, soit 92 %, provenait de son contrat de publicité avec Google de 2017. Si cela constitue une grosse somme, la vérité est que, sans elle, Mozilla est en fait en train de perdre de l’argent. La fondation a en effet perdu beaucoup plus qu’elle n’a gagné en 2018. En 2019, les dépenses de Mozilla se sont élevées à 495,3 millions de dollars, soit près de 5 millions de dollars de plus que ses revenus.

Le développement de logiciels, 304 millions de dollars, a constitué la majeure partie, 61 % des dépenses de Mozilla. Avec ses deux séries de coupes, le développement de logiciels pourrait ne plus représenter autant de dépenses en 2020. Mozilla n’a pas vu la nécessité de mentionner ces réductions dans son rapport financier et les documents associés.

Il est également intéressant de noter que dans le rapport 2019 de la Fondation Mozilla (formulaire 990), la Fondation Mozilla à but non lucratif – et non la société commerciale Mozilla Corp – a déclaré 28,4 millions de dollars de revenus et 21,9 millions de dollars de dépenses, ce qui signifie que la Fondation elle-même était dans le rouge. Une première explication pourrait passer par le traitement des salaires et autres rémunérations des employés, qui représentaient 9,4 millions de dollars de dépenses en 2019.

De mauvais chiffres

Mais dans d’autres domaines, Mozilla continue de réduire ses coûts. La fondation quittera ses bureaux de Mountain View lorsque son bail prendra fin en janvier. Le plus gros problème, que Mozilla n’a pas abordé dans son rapport annuel, n’est pas la réduction de ses effectifs, mais la baisse constante de sa part de marché des navigateurs web.

La part de marché de Firefox diminue depuis des années. En juillet 2012, Firefox avait commencé à reculer de son record historique de 23,75 %. En mars 2020, selon le programme d’analyse numérique (DAP) du gouvernement fédéral américain, qui nous donne un décompte des 90 derniers jours de visites sur les sites web du gouvernement américain, la part de marché de Firefox était tombée à seulement 3,6 %. Le 9 décembre 2020, quelques mois plus tard, la part de Firefox n’était plus que de 3,4 %.

Si cela ne suffisait pas, les chiffres du navigateur sur mobile n’ont jamais été aussi mauvais. Résultat : les seules coupes dans les infrastructures et ses meilleurs développeurs ne sauveront pas Mozilla. Et, avec la part de marché toujours décroissante de Firefox, elle ne pourra pas compter sur de futurs contrats publicitaires annuels de cent millions de dollars pour la sauver. Pour que Mozilla continue à compter, il lui faut une nouvelle gestion et un nouveau plan stratégique.

Source :zdnet.com

26 collectivités récompensées par un label Territoire Numérique Libre 2020

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Suite aux délibérations du jury, le palmarès du label Territoire Numérique Libre 2020 a été dévoilé mardi 1er décembre 2020 sur l’instance BigBlueButton1 de l’Adullact, crise sanitaire oblige. Toutes nos félicitations aux 26 collectivités labellisées et à leurs équipes pour leur engagement et leurs efforts en faveur des logiciels libres et d’une informatique loyale au service de l’intérêt général.

Le label « Territoire Numérique Libre » est une initiative de l’ADULLACT (Association des Développeurs et des Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales) destinée à mettre en valeur l’utilisation de logiciels et systèmes d’exploitation libres au sein des collectivités territoriales françaises. Son objectif est aussi de promouvoir l’utilisation des logiciels libres et des formats ouverts ainsi que la mise à disposition de données publiques ouvertes, accessibles et réutilisables.

L’April, qui fait partie du comité d’orientation du label ainsi que du jury, a travaillé de concert avec d’autres acteurs ainsi qu’avec l’ADULLACT pour produire et mettre à jour le questionnaire et le règlement de ce label. Elle félicite notamment les trois collectivités labellisées niveau 5, et les quatre mentions spéciales du jury.

La liste des collectivités récompensées est disponible sur le site Territoire Numérique Libre 2020.

L’April a déjà eu le plaisir de recevoir des représentants de certaines de ces collectivités dans le cadre de son émission Libre à vous ! (Les podcast et les transcriptions de ces émissions sont disponibles) :

Source april.org

Sortie du PinePhone KDE Community Edition

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Même s’il est réservé aux développeurs et aux intrépides, le PinePhone KDE Edition affiche un prix très mesuré pour son lancement : 123€ environ. Il peut être précommandé dès aujourd’hui.

C’est quoi le PinePhone KDE Edition ?

Le Pinephone Community Edition KDE Plasma est un smartphone Linux lancé en édition limitée.

Il tourne sous Plasma Mobile, un système d’exploitation GNU/Linux doté de l’interface Plasma pour les appareils mobiles.

Caractéristiques

Le Pinephone KDE Plasma est un smartphone dont la fiche technique est relativement modeste, mais reste tout à fait convaincante :

Processeur Allwinner A64 – CPU 64-bits 4-cœurs 1.2 GHz ARM Cortex A-53
GPU : MALI-400MP2
Mémoire interne 16GB eMMC (+ micro SD jusqu’à 2TB)
2GB LPDDR3 SDRAM
Dimensions : 160,5mm x 76,6mm x 9,2mm
Poids : 185 grammes
SIM : micro-SIM
Écran 5,95 pouces IPS capacif
Résolution de 1440×720 pixels, 18:9
OS : KDE Plasma Mobile OS
Capteur photo/vidéo arrière 5MP, 1/4″, LED Flash
Capteur photo/vidéo avant 2MP, f/2.8, 1/5″
Son : mono, haut-parleur, fiche jack 3,5 mm
2G, 3G et 4G
Wi-Fi 4
Bluetooth 4
GPS
Batterie amovible Li-Po 2750-3000 mAh
Chargeur USB type-C, 15W – 5V 3A (Quick Charge)

Plasma Mobile : ce qu’il faut savoir

Ce n’est pas une première, mais le smartphone PinePhone ne tourne pas sous Android. Il choisit en effet de miser sur Plasma Mobile, une interface mobile pour les smartphones qui tourne au-dessus d’une distribution Linux et qui est développée sur base de l’environnement KDE Plasma traditionnel (ordinateurs et tablettes).

Techniquement, Plasma Mobile utilise la boîte à outils Qt, les extensions KDE Frameworks et Plasma Shell.

Puis-je faire tourner des applications Android ?

Pas directement. Toutefois, il existe un projet pour cela, Anbox (Android in a Box). Son but : faire tourner des applications Android depuis un conteneur et utiliser le noyau Linux pour obtenir des performances quasi natives.

Pour l’heure, l’environnement ne semble pas encore assez stable pour être intégré d’origine à Plasma Mobile. Vous devez donc vous contenter de la logithèque Plasma Mobile.

Commander le PinePhone KDE Edition

Il est possible de commander le nouveau PinePhone KDE Edition sur le site web du constructeur au prix de 149,99USD (123€) au lieu de 249,99USD (205€). Les livraisons seront assurées mi-janvier via l’entrepôt européen du constructeur, basé en Pologne (dont le taux de TVA s’appliquera).

Une version « Convergence » est également disponible au prix de 199,99$ (163€), avec un hub USB permettant de l’utiliser comme « ordinateur portable » avec un moniteur, un clavier et une souris.

Attention, PINE64 recommande ce smartphone aux développeurs et aux « early adopters » à ce stade. Ces premières éditions sont idéalement destinées aux « utilisateurs avec une bonne connaissance de Linux« .

Source toolinux.com

Journée internationale contre les DRM le 4 décembre 2020

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Vendredi 4 décembre 2020, journée internationale contre les DRM (menottes numériques), organisée par la Fondation pour le logiciel libre. Une action qui s’inscrit dans sa campagne Defective by Design qui peut se traduire en français par « défectueux à dessein ou par conception ».

Cette nouvelle édition se concentre sur l’usage des DRM, par nature injuste, de certains services de streaming vidéo. À l’occasion de cette journée, la Fondation pour le logiciel libre appelle chacun et chacune à passer une journée entière – voire plus ! – sans utiliser de services contenant des DRM, qui restreignent nos libertés, et de partager cette expérience sur les réseaux avec les mots clef de la campagne (#IDAD pour International day against DRM ou #DayAgainstDRM notamment). Et il y aura sans doute des évènements organisés et des ressources qui permettent de vivre dans un monde sans DRM. Vous retrouverez tous les détails, et d’autres actions possible, sur le site de Defective by Design (en anglais).

Passez-vous donc de Netflix et profitez-en pour lire un bon livre… Par la barbe du GNU ! Il y a aussi des DRM sur les livres ! Nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir la fabuleuse vidéo avec la non moins fabuleuse Bookynette, réalisée à l’occasion de la journée contre les DRM de 2015, pour sensibiliser au danger des DRM pour les livres électroniques.

La vidéo

Les sous-titres de la vidéo : en français et en anglais (format SRT).

Le choix du terme compatibilité au lieu d’interopérabilité est volontaire pour cette vidéo destinée à un large public.

Source april.org

La Fondation Linux crée une certification pour débutant

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Il faut bien démarrer un jour et la Fondation Linux veut mettre le pied à l’étrier des débutants qui envisagent une carrière dans l’open source. Elle a donc lancer une certification accessible à ces personnes-là.

Pour attirer plus de candidats vers les métiers de l’open source, la Fondation Linux a lancé une initiative originale de certification. Baptisée, LFCA (pour Linux Foundation Certified IT Associate), elle valide un niveau débutant sur les connaissances à avoir sur l’écosystème Linux. Cet examen coûtera 300 dollars.

Dans le détail, les candidats devront répondre à 60 questions, réparties en six catégories : principes fondamentaux de Linux, de l’administration système, du cloud computing, de la sécurité, de DevOps, et le support aux applications et aux développeurs. Le test se déroulera en ligne via une webcam et un partage d’écran. Pour préparer l’examen, les participants ne seront pas livrés à eux-mêmes. Il existe quelques cours fournis par la Fondation et il est possible aussi de suivre des MooC edX qui sont également gratuits et couvrent des sujets tels que Linux, le cloud et les bases de DevOps, ainsi que l’ingénierie de la fiabilité des sites.

Un tremplin pour d’autres certifications

Ceux qui terminent la formation et obtiennent le certificat pourront passer à la certification intermédiaire Linux Foundation Certified SysAdmin (LFCS), et à la certification avancée Linux Foundation Certified Engineer (LFCE). A noter que les personnes intéressées peuvent s’inscrire immédiatement, les premiers examens étant disponibles après le 15 janvier. Le test est bien évidemment en langue anglaise.

Cette initiative s’adresse principalement à ceux ou celles qui sont intéressés par une carrière dans l’IT et veulent obtenir une certification professionnelle pour démarrer. Le monde de l’open source recrute beaucoup et un rapport récent de la Fondation Linux montrait que 93% des entreprises avaient du mal à recruter des talents dans ce domaine. Un tel certificat devrait séduire plus de candidats…

Source lemondeinformatique.fr

Linux : que faire en cas de kernel panic ?

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C’est quoi, kernel panic ?

La panique du noyau (kernel panic) est un mécanisme de signalement d’erreur système du noyau d’un système d’exploitation. Il concerne en particulier GNU/Linux, UNIX mais aussi macOS.

Kernel panic peut survenir dans plusieurs circonstances, traduisant des erreurs impossibles à corriger, qui empêchent le fonctionnement de l’ordinateur (ou du terminal). L’irruption est souvent précédée d’un message d’erreur du noyau.

Ce qui provoque une kernel panic

Les causes sont multiples. Par exemple :

Erreurs de programmation
Erreurs de conception du noyau
Mauvaise installation du noyau
Problèmes liés au matériel
Valeurs incorrectes détectées
Fichier initramfs corrompu

Kernel Panic : que faire ?

Tout administrateur système est confronté à ce problème au moins une fois dans sa carrière et sait alors qu’une réinstallation du système n’est pas la première solution. L’éditeur Red Hat a compilé une série de mesures à prendre pour faire face au kernel panic.

Que faire en cas de kernel panic sous Linux ?

Face à une kernel panic, voici ce qu’il faut faire, en partant de l’exemple d’un système RedHat/Fedora/CentOS :

Démarrer le système normalement avec la version de noyau actuelle pour voir le type d’erreur ;
Redémarrer la machine et choisir l’invite Rescue puis aller dans /boot et afficher les fichiers. C’est ici que vous trouverez initramfs, mais en mode rescue. Le fichier initramfs est lui manquant ;
Créer un nouveau fichier initramfs correspondant à votre noyau (commande #uname -r) grâce à la commande suivante : #dracut -f  ;
Vérifier que le nouveau fichier se trouve bien dans /boot ;
Redémarrer normalement.

L’erreur devrait être corrigée à ce stade.

La procédure complète est décrite dans cet article, avec des illustrations.

Source toolinux.com

Une chaîne pour apprendre à enseigner en ligne avec des logiciels libres

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En France, un professeur s’est lancé dans la création d’une très utile et pratique chaîne Peertube destinée, principalement, aux enseignants. Une véritable sensibilisation aux logiciels libres.

Passionné de logiciels libres et d’enseignement/apprentissage en ligne, ce professeur a cherché à partager ses connaissances par le biais de vidéos, où il entend sensibiliser le plus d’enseignants possibles aux problématiques liées aux logiciels propriétaires : « C’est pourquoi j’ai commencé à réaliser ces vidéos, avec pour but de parler des logiciels libres dans la pratique de l’enseignement« .

Parmi les sujets évoqués,

Logiciels libres pour l’enseignement
Visioconférences libres avec un tableau blanc
Enseigner sans logiciels propriétaires
Faire des vidéos interactives

Son aventure est racontée dans un article de présentation publié sur LinuxFR ce 23 novembre.

La chaîne est accessible sur Peertube.

Source toolinux.com

Campagne de réemploi d’ordinateurs : deux conférences en ligne cette semaine

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Des conférences sont organisées en ligne cette semaine, dans le cadre de la Semaine Européenne de Réduction des Déchets afin notamment de présenter une campagne de réemploi d’ordinateurs, avec Linux.

Le but de la campagne SERD est de « mettre en place des animations pour sensibiliser au fait de mieux consommer, mieux produire, prolonger la durée de vie des produits, jeter moins« .

La campagne de réemploi de PC est menée par Emmabuntüs, Debian-Facile, Blabla Linux et Tugaleres.com.

Deux soirées sont prévues.

Le vendredi 27 novembre de 18h00 à 19h00 : campagne de réemploi d’ordinateurs en France/Belgique
Le samedi 28 novembre de 18h00 à 19h00 : solidarité dans le réemploi d’ordintaeurs en France et en Afrique

La solution Jitsi Meet étant limitée, les organisateurs ont annoncé qu’ils vont utiliser la solution libre BigBlueButton pour la diffusion des conférences en ligne.

Tous les détails se trouvent sur cette page.

Source toolinux.com

Linus Torvalds veut un Mac ARM sous Linux

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La nouvelle puce ARM d’Apple ne semble laisser personne indifférent. Et pour cause, les premiers retours sont particulièrement positifs, notamment en ce qui concerne les résultats des tests de performances. Du côté de Linux, on s’imagine même l’utiliser pour exécuter le kernel.

Linus Torvalds, créateur du noyau Linux dès 1994, a en effet récemment salué les efforts opérés par Apple sur sa puce M1. Il ne cache d’ailleurs pas qu’il aimerait bien exécuter une distribution GNU/Linux sur l’un des nouveaux MacBook récemment présentés.

Un adepte des MacBook

Récemment interrogé, sur forum Real Work Tech, au sujet des ordinateurs portables d’Apple, Linux Torvalds a expliqué : « J’adorerais vraiment en avoir un, s’il y avait Linux dessus. J’ai plutôt de bons souvenirs du MacBook Air 11 » . Avant d’ajouter qu’Apple a toutefois fait en sorte qu’on ne puisse pas y exécuter facilement Linux.

Dans un autre fil de discussion, Linus Torvalds réagit aux premiers tests de performances effectués sur le nouveau Mac Mini disposant de la puce M1. Il affirme alors : « ça a l’air vraiment bien. Je suis réellement impressionné par l’efficacité de Rosetta 2. Bien plus que je ne le pensais ».

Rappelons que Rosetta 2 permet d’exécuter, sur les nouveaux Mac ARM, les applications x86-64 initialement conçues pour les Mac dotés d’un processeur Intel.

Linus Torvald rêve d’un Mac sous Linux sans bidouille

À 51 ans, Linus Torvalds serait-il las de bidouiller ses machines ? En tout cas, si l’adepte des MacBook aimerait bien une machine fonctionnant sous Linux, il n’est pas près à mettre les mains dans les entrailles de la bête.

« Cela fait longtemps que je veux un ordinateur portable ARM pouvant exécuter Linux. Le nouveau Air serait presque parfait, mis à part l’OS. Et je n’ai pas le temps de le bidouiller, ni l’envie de me battre avec des sociétés qui ne veulent pas aider ».

Clairement, il n’est pas dans les intentions d’Apple de permettre aux développeurs Linux d’utiliser ses nouvelles machines. Toutefois les propos de Linus Torvalds sonneraient presque comme un appel à la communauté pour voir ce qu’il est possible de faire sur ces MacBook.

Source clubic.com