Tux USB

Featured

Logo TuxLogo Tux1

 

Tux USB est une entreprise Française basé en Ardèche (07)

Toutes les clés USB sont configurées et testées avant d’êtres expédiées.

Toutes nos clés USB sont configurées lors de l’enregistrement de votre commande. Logo USB

Elles sont intégralement testées afin de garantir leurs bon fonctionnement avant d’êtres expédiées.

 

 

Contactez un thénico-commercial Tux USB

Vous souhaitez un contact écrit ou téléphonique avec un thénico-commercial ?

Notre support est très réactif, nous répondons en moyenne sous une heure.

Pour nous contacter au sujet d’une demande déjà passée, vous devez obligatoirement ouvrir un dossier

« Service après vente » dans la page « Mes commandes » sinon votre message ne sera pas traité.

Contact Tux USB

 

 

Capture d’écran_2021-05-17_07-16-22

Capture d’écran_2021-05-17_07-17-14

Source tux-usb.com

Évaluez ceci :

Linux shop

Featured

 

 

 

 

 

Linux Shop est une petite entreprise Française basée en Ardèche (07)           

 

 

Linux Shop est une entreprise Française spécialiste des ordinateurs de bureau et ordinateurs portables sous système d’exploitation libre Linux.

Chaque ordinateur est assemblé et/ou configuré avec la distribution GNU/Linux de votre choix (Ubuntu ou Linux Mint).

Linux Shop. Une boutique en ligne avec une gamme simple et claire d’ordinateurs livrés pré-intallés avec Linux

 

 

Source linuxshop.fr

Ce que l’on sait déjà sur l’environnement GNOME 41

Featured

Alors que GNOME 40 a fait son apparition fin mars, l’environnement de travail graphique lance le chantier de sa prochaine révision, prévue pour la rentrée 2021. Au menu : GTK4 et la nouvelle bibliothèque libadwaita.

GNOME 40 est sorti le 24 mars 2021, mais toutes les distributions n’ont pas encore reçu leur version optimisée (par exemple, Fedora 34 sortira avec GNOME 40 d’ici la fin avril). Ce qui n’empêche pas la prochaine grande version de se préparer.

Quoi de neuf dans GNOME 41 ?

On ne connait pas, à l’heure qu’il est, l’ensemble des nouveautés de GNOME 41. Le saut de GNOME 33 à GNOME 40 était un signe de changements majeurs, notamment dans l’interface. Pour la sortie de GNOME 41, il ne faut pas s’attendre à des changements importants ou radicaux, mais on sait déjà que la transition sera opérée vers GTK4.

Une nouvelle bibliothèque libadwaita

C’est Adrien Plazas qui a révélé l’information dans un billet publié sur LinuxFR : GNOME 41 va intégrer libadwaita, la première bibliothèque à intégrer les Human Interface Guidelines de GNOME, à savoir les « directives pour les interfaces humaines« . Cela va permettre à GTK de « redevenir plus indépendante de la plateforme GNOME« .

Concrètement, « Adwaita est à la fois le langage visuel de GNOME et le thème par défaut de GTK » :

« La bibliothèque sera implémentée comme le successeur GTK4 et remplaçant de libhandy et elle sera développée par les développeurs actuels de libhandy. (…) Comme elle implémentera les HIG de GNOME, les développeurs de la bibliothèque travailleront en étroite collaboration avec l’équipe design de GNOME. L’équipe design fera également des revues de l’ensemble de départ des widgets et styles hérités de libhandy, s’assurant qu’ils sont d’équerre avec les directives qu’ils ont développées et qu’ils rafraîchiront pour GNOME 41. »

Pour en savoir plus, lisez « GNOME annonce la nouvelle bibliothèque libadwaita » ou encore cet article (en anglais).

Quand sort GNOME 41 ?

GNOME 41 sortira le 22 septembre 2021.

Trois cycles sont prévus : alpha, bêta et RC. La version bêta devrait coïncider avec la tenue de l’événement GUADEC 2021, qui se déroulera en ligne fin juillet. La version candidate n’arrivera elle qu’en septembre.

Source toolinux.com

Circulaire données et codes sources en France : réaction de l’APRIL

Featured

Le Premier ministre français, Jean Castex, a signé une circulaire posant les bases d’une « politique publique de la donnée, des algorithmes et des codes sources ». Un premier pas dans la bonne direction qui devra être confirmé et détaillé, selon l’APRIL dans un communiqué.

La circulaire signée le 27 avril 2021 a pour objet la politique publique « de la donnée, des algorithmes et des codes sources » au sein de l’ensemble des administrations de l’État, centrales et déconcentrées. Elle s’appuie notamment sur le rapport remis en décembre 2020 par le député Éric Bothorel. C’était déjà l’ambition d’une circulaire de 2012 du Premier ministre Jean-Marc Ayrault sur « le bon usage du logiciel libre dans les administrations ».

Selon l’APRIL, la circulaire ne s’arrête pas au simple affichage d’une ambition de renforcement de l’usage du logiciel libre. Elle reprend une des principales propositions du rapport Bothorel sur le logiciel libre : « la création d’une mission dédiée à l’animation et la promotion interministérielles en matière de logiciel libre et de communs numériques ».

« Il faudra être particulièrement vigilant quant aux moyens réellement accordés et veiller à ce qu’il ne s’agisse pas d’une simple nouvelle compétence attribuée par décret à la DINUM à moyen constant, sinon l’ambition affichée restera lettre morte« , estime l’association.

L’April voit également comme un signe encourageant l’annonce de la mise en place d’un site code.gouv.fr, mis en œuvre par la mission précitée. Pourvu qu’il s’agisse d’une véritable forge logicielle publique, accueillant les codes sources produits par les administrations et librement accessible.

« La circulaire donne des signes encourageants, certes, mais l’inertie actuelle au sein de l’État où l’opacité et les fonctionnements en silos semblent toujours être la règle nous incite à la réserve tant que des décisions concrètes ne seront pas prises. Un premier pas dans la bonne direction qui doit donc être confirmé« , conclut l’APRIL dans son communiqué.

Lisez également « Rapport Bothorel : réactions de l’APRIL et d’OW2 »

Source toolinux.com

bouton_web_soutien_88x31

Hier, c’était la journée internationale… des mots de passe !

Featured

La Journée mondiale du mot de passe avait lieu ce jeudi 6 mai. Face aux risques, les particuliers comme les entreprises sont encouragés à repenser leurs habitudes en matière de mots de passe, car un simple manque de rigueur peut causer de grandes menaces cyber.

La Journée mondiale du mot de passe ce 6 mai était l’occasion de réévaluer et de repenser nos habitudes liées à l’utilisation des mots de passe, car des mots de passe trop simples ou réutilisés peuvent avoir un lourd impact.

Malheureusement, le manque de rigueur des utilisateurs à mettre à jour régulièrement leurs mots de passe n’aide pas, car la majorité se contenteront de numéroter leurs mots de passe ou de les recycler avec des signes déjà utilisés.

Chaque semaine, les cas de violation de données font la une des médias, et les techniques de « credential stuffing » causent malheureusement d’importants dégâts dans les entreprises. Ce qui est d’autant plus vrai pour ce qui est de l’Active Directory, mais tout ceci n’entrave les cybercriminels que de manière relative.

Pour une sécurité fiable, former un individu aux meilleures pratiques est une chose. Il faut cependant trouver une solution pour éliminer l’erreur humaine de ce processus, et appliquer l’authentification multifactorielle.

La présence d’êtres humains dans les processus quotidiens et l’exploitation de leurs failles est toujours une menace latente. En outre, la mise en œuvre de ces mesures ne devrait pas incomber uniquement à l’individu : les entreprises doivent également être raisonnables et prendre la sécurité au sérieux en appliquant l’authentification multifactorielle de manière rigoureuse.

Nous constations plus d’engagements dans ce sens, notamment de la part des plateformes de réseaux sociaux, lorsqu’il s’agit de comptes d’influenceurs clés – mais ce n’est pas suffisant.

Regis Alix, Quest Software

Source toolinux.com

MINIX : un mini-ordinateur Ubuntu Linux à moins de 180€

Featured

Le constructeur MINIX propose le modèle Neo Z83-4U sans ventilateur, un mini PC Linux équipé de la distribution Ubuntu préinstallée. Un équipement impressionnant dans un format très compact.

Un mini PC sous Linux

De la taille d’une paume de main, le Neo Z83-4U est un petit ordinateur personnel basé sur l’architecture Intel Cherry Trail Quad-Core. Il tourne sous Ubuntu Linux, mais reste compatible avec Windows 10.

Parfait pour une utilisation à la maison avec un clavier, une souris et un écran, mais également dans un cadre plus commercial (écran d’affichage promotionnel, par exemple), voire comme centre multimédia (media center).

Fiche technique

Les caractéristiques du MINIX Neo Z83-4U sont :

Atom x5 Z8300
Mémoire vive RAM 4 GB
Mémoire interne 64GB eMMC
Wi-Fi 5 (ac) bi-bande
Ethernet Gigabit
Résolution vidéo 4K avec connectique mini DP
Alimentation automatique
Montage VESA

Quelle distribution Linux ?

Le MINIX Neo Z83-4U est équipé de la distribution Ubuntu Linux 18.04, qui peut être mise à jour immédiatement.

Quel prix et où l’acheter ?

Le modèle Neo Z83-4U de MINIX est proposé avec livraison gratuite (généralement 24h) au prix de 149,08 HT à l’unité, soit une réduction de plus de 20€ sur le prix normal. Le prix TTC est de 175€ environ.

Des réductions sont accordées en cas d’achat de plusieurs appareils : 147,59 € HT pour 2 exemplaires et 146,10 € à partir de 4 unités.

Source toolinux.com

April Camp les 8 et 9 mai 2021 à distance

Featured

Le prochain « April Camp » aura lieu samedi 8 et dimanche 9 mai 2021 en distanciel. Tout le monde, membre ou pas de l’association, peut participer en fonction de son temps disponible, de ses compétences, de ses envies.

L’April Camp aura lieu en ligne principalement avec divers outils en fonction des besoins : audio-conférence, visio-conférence, messagerie instantannée, bloc-notes collaboratifs…

L’idée d’un « April Camp » est de se réunir pendant deux jours entre membres et soutiens de l’April pour faire avancer des projets en cours, lancer de nouveaux projets. Les projets peuvent être de nature technique, des outils de communication, etc. Tout le monde, membre ou pas de l’association, peut participer en fonction de son temps disponible, de ses compétences, de ses envies.

N’hésitez pas à vous inscrire sur le bloc-notes dédié (pour faciliter notamment l’organisation), à proposer des thèmes de travail, à juste passer nous voir. Vous y trouverez également toutes les informations utiles pour y participer.

Source april.org

Circulaire données et codes sources : un premier pas dans la bonne direction qui doit être confirmé

Featured

Le Premier ministre a signé une circulaire posant les bases d’une « politique publique de la donnée, des algorithmes et des codes sources ». Si elle ne promet pas de rupture importante dans les pratiques, elle formule toutefois certaines propositions intéressantes dont la création d’une mission interministérielle du logiciel libre. Un premier pas dans la bonne direction qui devra être confirmé et détaillé.

La circulaire 1, signée le 27 avril 2021 par le Premier ministre Jean Castex, a pour objet la politique publique « de la donnée, des algorithmes et des codes sources » au sein de l’ensemble des administrations de l’État, centrales et déconcentrées. Charge aux différents ministres, ministres délégués, secrétaires d’État et préfets de région de la mettre en œuvre. Elle s’appuie notamment sur le rapport « Pour une politique publique de la donnée » remis en décembre 2020 par le député Éric Bothorel2.

La circulaire précise que l’ambition de cette politique publique implique « un renforcement de l’ouverture des codes sources et des algorithme publics, ainsi que de l’usage de logiciel libre et ouvert ». Une déclaration avec laquelle il est difficile d’être en désaccord… mais qui était déjà l’ambition d’une circulaire de 2012 du Premier ministre Jean-Marc Ayrault sur « le bon usage du logiciel libre dans les administrations »3. Depuis il ne semble guère y avoir eu de rupture en termes de pratiques dans les directions des systèmes d’information des administrations, du moins pas de manière systémique, pas plus qu’à la suite de la loi pour une République numérique de 20164. L’April rappelle donc la nécessité d’un principe politique et normatif fort : la priorité au logiciel libre. Une priorité qui doit guider l’action des administrations et servir de pilier à une stratégie globale sur l’utilisation, la publication et la contribution aux logiciels libres.

La circulaire ne s’arrête toutefois pas au simple affichage de cette ambition de renforcement de l’usage du logiciel libre ; elle reprend une des principales propositions du rapport Bothorel sur le logiciel libre : « la création d’une mission dédiée à l’animation et la promotion interministérielles en matière de logiciel libre et de communs numériques ». Peu de précisions sur le périmètre de son action – si ce n’est qu’elle s’exercera au sein de la DINUM (Direction interministérielle du numérique) – ou sur les objectifs qui seront les siens, et aucune mention des moyens alloués à cette mission. Si c’est évidemment un signe encourageant que le Premier ministre reprenne à son compte la proposition du rapport Bothorel, que l’April avait elle-même portée lors de la consultation publique proposée dans le cadre de la mission du député5, une telle mission ne pourra produire d’effets utiles sans moyens dédiés, particulièrement des moyens humains. Le rapport parlementaire recommandait d’ailleurs que la mission « pourrait être constituée par exemple d’un responsable et de deux à trois chargés de mission (3 à 4 ETP) » (ETP = équivalent temps-plein). L’officialisation de la création de cette mission est donc de bon augure, mais il faudra être particulièrement vigilant quant aux moyens réellement accordés et veiller à ce qu’il ne s’agisse pas d’une simple nouvelle compétence attribuée par décret à la DINUM à moyen constant, sinon l’ambition affichée restera lettre morte.

L’April voit également comme un signe encourageant l’annonce de la mise en place d’un site code.gouv.fr, mis en œuvre par la mission précitée. À condition bien sûr, comme l’appelait l’April lors des travaux de la mission Bothorel, qu’il s’agisse d’une véritable forge logicielle publique, accueillant les codes sources produits par les administrations et librement accessible, et non pas d’un simple portail listant les liens vers des codes hébergés sur des forges extérieures.

« L’année 2021 doit poser les fondements d’une politique ambitieuse de la donnée, des algorithmes et des codes sources » annonce la circulaire. La ministre de la transformation et de la fonction publique – en charge du « développement et l’amélioration des usages et services numériques ainsi que la politique d’ouverture et de circulation des données » – doit remettre au Premier ministre une stratégie interministérielle pour la filière numérique d’ici le 15 mai 2021. Les autres ministres devront élaborer d’ici le 15 juillet une feuille de route pour détailler la stratégie de leurs propres ministères, qui sera publiée d’ici le 15 septembre 2021. Feuilles de route qui devront « intégrer systématiquement des objectifs relatifs au pilotage, à l’ouverture, à la circulation et au partage des données, des algorithmes et des codes sources ». Il sera, à ce titre, particulièrement intéressant de voir comment le ministère des Armées ou de l’Éducation nationale, pour ne citer qu’eux, parviendront à concilier ces objectifs avec leur dépendance historique très forte à certains éditeurs de logiciels privateurs, Microsoft en tête. Nous attendons d’ailleurs toujours la publication d’une étude sur la mise en place du poste de travail entièrement libre qui serait menée au sein du ministère des Armées.

À ce titre, l’April rappelle qu’il existe déjà de très bonnes initiatives au sein même de l’administration qui peinent visiblement à être amplifiées. Ainsi, mentionnons à titre d’exemple le Socle Interministériel des Logiciels Libres (SILL6) ou la politique de contribution au logiciel libre de l’État7… mise en place par des agents de la DINUM.

Hasard de l’actualité, nous apprenons dans le même temps que la Commission d’accès aux documents administratifs rejette la demande d’accès8 du collectif SantéNathon aux codes sources du Health Data Hub, la plateforme invoquant l’exception « sécurité des systèmes d’information des administrations », pour la communicabilité des documents administratifs (dont les codes sources). Exception que l’April avait fermement combattue lorsqu’elle a été votée dans la loi pour une République numérique en la qualifiant de contresens technique et en rappelant notamment que l’existence d’une faille de sécurité, et son utilisation à des fins malveillantes, est indifférente au fait que le code soit ouvert ou opaque. Une exception qui traduit ainsi surtout une méfiance vis-à-vis du public. Comme l’a très bien résumé le député Éric Bothorel dans son rapport : « en réalité, les acteurs faisant valoir la sécurité des systèmes d’information semblent méconnaître la possibilité de renforcer leur résilience offerte par la démarche d’ouverture des codes sources ». Démonstration dans les faits de l’important frein que représente cette exception à l’ouverture des codes sources, donc à la politique publique décrite dans la circulaire.

Concernant l’ouverture des données et codes sources dans les territoires, le Premier ministre souhaite la nomination d’une personne référente « données, algorithmes et codes sources » auprès de chaque préfet de région, ce qui serait une bonne chose, ainsi qu’une animation de la coopération entre l’État et les collectivités, via notamment l’Agence nationale de la cohésion des territoires.

La circulaire donne des signes encourageants, certes, mais l’inertie actuelle au sein de l’État où l’opacité et les fonctionnements en silos semblent toujours être la règle nous incite à la réserve tant que des décisions concrètes ne seront pas prises. Un premier pas dans la bonne direction qui doit donc être confirmé.

Source april.org

Noyau 5.12 de Linux : le résumé des nouveautés

Featured

Après la sortie de la version 5.10 LTS en décembre et du noyau 5.11 en février, place au kernel 5.12. Il a été officialisé ce dimanche 25 avril.

Linus Torvalds a confirmé ce 25 avril la sortie de la version 5.12 du noyau Linux (kernel) :

« Merci à ceux qui ont rendu la dernière semaine très calme : cela m’a rendu beaucoup plus heureux à l’idée de sortir cette version 5.12 finale. »

Les différentes distributions Linux vont donc pouvoir s’y adapter dès maintenant.

Quoi de neuf dans Linux 5.12 ?

Les points forts du nouveau noyau Linux 5.12 sont les suivants :

Meilleur support de l’USB 4
Prise en charge des manettes DualSense de la PlayStation 5
Support Intel eASIC N5X
Support Qualcomm Snapdragon 888 5G
Support amélioré pour Microsoft Surface
Support de la plateforme Lenovo IdeaPad
Support de cryptage eMMC inline
AMDGPU est compatible avec Freesync HDMI
Meilleur support client NFS
Support Dynamic Thermal Power Management

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel.

Source toolinux.com

GNOME : ce qu’il faut savoir pour participer à GUADEC 2021

Featured

La conférence annuelle des développeurs et utilisateurs de GNOME aura bien lieu du 21 au 25 juillet prochains. Les organisateurs jouent la carte de la prudence : l’événement aura lieu en ligne.

La GNOME Foundation confirme la tenue de GUADEC 2021 du 21 au 25 juillet 2021. Mexico aurait dû être la destination des participants, mais la situation sanitaire exige des mesures de prudence : les échanges se feront en ligne en visioconférence.

On y parlera du successeur de GNOME 40, à savoir la version 41 prévue pour l’automne prochain.

Le programme

Les 2 premières journées (21 et 22 juillet) seront dédiées aux conférences et aux « talks » (interventions). Les 23 et 24 juillet seront eux consacrés aux ateliers, BoFs et autres réjouissances.

Le programme complet de GUADEC 2021 se trouve sur cette page.

Les « keynote speakers » de l’édition 2021 seront :

Hong Phuc Dang, FOSSASIA
Shauna Gordon-McKeon, Galaxy Rise Consulting et Tech Inquiry

La liste complète des orateurs est également publiée.

Comment s’inscrire

Il est possible de s’inscrire gratuitement en ligne sur le site officiel via ce lien.

Source toolinux.com