Sortie du PinePhone KDE Community Edition

Featured

Même s’il est réservé aux développeurs et aux intrépides, le PinePhone KDE Edition affiche un prix très mesuré pour son lancement : 123€ environ. Il peut être précommandé dès aujourd’hui.

C’est quoi le PinePhone KDE Edition ?

Le Pinephone Community Edition KDE Plasma est un smartphone Linux lancé en édition limitée.

Il tourne sous Plasma Mobile, un système d’exploitation GNU/Linux doté de l’interface Plasma pour les appareils mobiles.

Caractéristiques

Le Pinephone KDE Plasma est un smartphone dont la fiche technique est relativement modeste, mais reste tout à fait convaincante :

Processeur Allwinner A64 – CPU 64-bits 4-cœurs 1.2 GHz ARM Cortex A-53
GPU : MALI-400MP2
Mémoire interne 16GB eMMC (+ micro SD jusqu’à 2TB)
2GB LPDDR3 SDRAM
Dimensions : 160,5mm x 76,6mm x 9,2mm
Poids : 185 grammes
SIM : micro-SIM
Écran 5,95 pouces IPS capacif
Résolution de 1440×720 pixels, 18:9
OS : KDE Plasma Mobile OS
Capteur photo/vidéo arrière 5MP, 1/4″, LED Flash
Capteur photo/vidéo avant 2MP, f/2.8, 1/5″
Son : mono, haut-parleur, fiche jack 3,5 mm
2G, 3G et 4G
Wi-Fi 4
Bluetooth 4
GPS
Batterie amovible Li-Po 2750-3000 mAh
Chargeur USB type-C, 15W – 5V 3A (Quick Charge)

Plasma Mobile : ce qu’il faut savoir

Ce n’est pas une première, mais le smartphone PinePhone ne tourne pas sous Android. Il choisit en effet de miser sur Plasma Mobile, une interface mobile pour les smartphones qui tourne au-dessus d’une distribution Linux et qui est développée sur base de l’environnement KDE Plasma traditionnel (ordinateurs et tablettes).

Techniquement, Plasma Mobile utilise la boîte à outils Qt, les extensions KDE Frameworks et Plasma Shell.

Puis-je faire tourner des applications Android ?

Pas directement. Toutefois, il existe un projet pour cela, Anbox (Android in a Box). Son but : faire tourner des applications Android depuis un conteneur et utiliser le noyau Linux pour obtenir des performances quasi natives.

Pour l’heure, l’environnement ne semble pas encore assez stable pour être intégré d’origine à Plasma Mobile. Vous devez donc vous contenter de la logithèque Plasma Mobile.

Commander le PinePhone KDE Edition

Il est possible de commander le nouveau PinePhone KDE Edition sur le site web du constructeur au prix de 149,99USD (123€) au lieu de 249,99USD (205€). Les livraisons seront assurées mi-janvier via l’entrepôt européen du constructeur, basé en Pologne (dont le taux de TVA s’appliquera).

Une version « Convergence » est également disponible au prix de 199,99$ (163€), avec un hub USB permettant de l’utiliser comme « ordinateur portable » avec un moniteur, un clavier et une souris.

Attention, PINE64 recommande ce smartphone aux développeurs et aux « early adopters » à ce stade. Ces premières éditions sont idéalement destinées aux « utilisateurs avec une bonne connaissance de Linux« .

Source toolinux.com

Journée internationale contre les DRM le 4 décembre 2020

Featured

Vendredi 4 décembre 2020, journée internationale contre les DRM (menottes numériques), organisée par la Fondation pour le logiciel libre. Une action qui s’inscrit dans sa campagne Defective by Design qui peut se traduire en français par « défectueux à dessein ou par conception ».

Cette nouvelle édition se concentre sur l’usage des DRM, par nature injuste, de certains services de streaming vidéo. À l’occasion de cette journée, la Fondation pour le logiciel libre appelle chacun et chacune à passer une journée entière – voire plus ! – sans utiliser de services contenant des DRM, qui restreignent nos libertés, et de partager cette expérience sur les réseaux avec les mots clef de la campagne (#IDAD pour International day against DRM ou #DayAgainstDRM notamment). Et il y aura sans doute des évènements organisés et des ressources qui permettent de vivre dans un monde sans DRM. Vous retrouverez tous les détails, et d’autres actions possible, sur le site de Defective by Design (en anglais).

Passez-vous donc de Netflix et profitez-en pour lire un bon livre… Par la barbe du GNU ! Il y a aussi des DRM sur les livres ! Nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir la fabuleuse vidéo avec la non moins fabuleuse Bookynette, réalisée à l’occasion de la journée contre les DRM de 2015, pour sensibiliser au danger des DRM pour les livres électroniques.

La vidéo

Les sous-titres de la vidéo : en français et en anglais (format SRT).

Le choix du terme compatibilité au lieu d’interopérabilité est volontaire pour cette vidéo destinée à un large public.

Source april.org

La Fondation Linux crée une certification pour débutant

Featured

Il faut bien démarrer un jour et la Fondation Linux veut mettre le pied à l’étrier des débutants qui envisagent une carrière dans l’open source. Elle a donc lancer une certification accessible à ces personnes-là.

Pour attirer plus de candidats vers les métiers de l’open source, la Fondation Linux a lancé une initiative originale de certification. Baptisée, LFCA (pour Linux Foundation Certified IT Associate), elle valide un niveau débutant sur les connaissances à avoir sur l’écosystème Linux. Cet examen coûtera 300 dollars.

Dans le détail, les candidats devront répondre à 60 questions, réparties en six catégories : principes fondamentaux de Linux, de l’administration système, du cloud computing, de la sécurité, de DevOps, et le support aux applications et aux développeurs. Le test se déroulera en ligne via une webcam et un partage d’écran. Pour préparer l’examen, les participants ne seront pas livrés à eux-mêmes. Il existe quelques cours fournis par la Fondation et il est possible aussi de suivre des MooC edX qui sont également gratuits et couvrent des sujets tels que Linux, le cloud et les bases de DevOps, ainsi que l’ingénierie de la fiabilité des sites.

Un tremplin pour d’autres certifications

Ceux qui terminent la formation et obtiennent le certificat pourront passer à la certification intermédiaire Linux Foundation Certified SysAdmin (LFCS), et à la certification avancée Linux Foundation Certified Engineer (LFCE). A noter que les personnes intéressées peuvent s’inscrire immédiatement, les premiers examens étant disponibles après le 15 janvier. Le test est bien évidemment en langue anglaise.

Cette initiative s’adresse principalement à ceux ou celles qui sont intéressés par une carrière dans l’IT et veulent obtenir une certification professionnelle pour démarrer. Le monde de l’open source recrute beaucoup et un rapport récent de la Fondation Linux montrait que 93% des entreprises avaient du mal à recruter des talents dans ce domaine. Un tel certificat devrait séduire plus de candidats…

Source lemondeinformatique.fr

Linux : que faire en cas de kernel panic ?

Featured

C’est quoi, kernel panic ?

La panique du noyau (kernel panic) est un mécanisme de signalement d’erreur système du noyau d’un système d’exploitation. Il concerne en particulier GNU/Linux, UNIX mais aussi macOS.

Kernel panic peut survenir dans plusieurs circonstances, traduisant des erreurs impossibles à corriger, qui empêchent le fonctionnement de l’ordinateur (ou du terminal). L’irruption est souvent précédée d’un message d’erreur du noyau.

Ce qui provoque une kernel panic

Les causes sont multiples. Par exemple :

Erreurs de programmation
Erreurs de conception du noyau
Mauvaise installation du noyau
Problèmes liés au matériel
Valeurs incorrectes détectées
Fichier initramfs corrompu

Kernel Panic : que faire ?

Tout administrateur système est confronté à ce problème au moins une fois dans sa carrière et sait alors qu’une réinstallation du système n’est pas la première solution. L’éditeur Red Hat a compilé une série de mesures à prendre pour faire face au kernel panic.

Que faire en cas de kernel panic sous Linux ?

Face à une kernel panic, voici ce qu’il faut faire, en partant de l’exemple d’un système RedHat/Fedora/CentOS :

Démarrer le système normalement avec la version de noyau actuelle pour voir le type d’erreur ;
Redémarrer la machine et choisir l’invite Rescue puis aller dans /boot et afficher les fichiers. C’est ici que vous trouverez initramfs, mais en mode rescue. Le fichier initramfs est lui manquant ;
Créer un nouveau fichier initramfs correspondant à votre noyau (commande #uname -r) grâce à la commande suivante : #dracut -f  ;
Vérifier que le nouveau fichier se trouve bien dans /boot ;
Redémarrer normalement.

L’erreur devrait être corrigée à ce stade.

La procédure complète est décrite dans cet article, avec des illustrations.

Source toolinux.com

Linux et Android : nouveautés de l’application Cozy Drive

Featured

Il y a quelques semaines, le nuage open source français Cozy Cloud soignait l’ensemble de ses applications pour toutes les plateformes. Plus besoin de passer par le Play Store sous Android, un fichier APK fait son apparition.

Cozy Cloud est accessible depuis un simple navigateur web, mais pour profiter de la synchronisation depuis un ordinateur, un smartphone ou une tablette, il faut passer par une application. L’édition stable publiée en octobre apporte plusieurs nouveautés. L’application prend notamment mieux en charge « certaines erreurs qui pouvaient survenir à l’envoi de fichiers et les corrige sans que vous deviez intervenir« .

Quelles nouveautés sur ordinateur ?

Sous Windows, il arrivait que la déconnexion de l’application ne supprime pas tous ses fichiers de configuration : c’est corrigé ;
Sous macOS, les quelques soucis lors de la synchronisation de documents dont le nom comporte des accents ou des émojis sont eux aussi neutralisés ;
Sous GNU/Linux, dans certaines configurations, l’application ne mémorisait pas le choix de la lancer ou non au démarrage de la session : là encore, c’est corrigé.

Android : un fichier APK pour Cozy Cloud

Alors que des optimisations réseau ont été apportées sous iOS (iPad, iPhone), c’est Android qui franchit un pas symbolique et important. L’application mobile était jusqu’ici disponible via le Play Store de Google, mais nombre d’utilisateurs réclamaient un fichier d’installation APK. Ils ont été entendus.

Cozy Drive pour Android est disponible sous forme de fichier APK (version 1.27.1), mais attention, il vous faudra mettre à jour votre application vous-même.

Lire également

Cozy Cloud : projet éducation et nouvel hébergeur en France
Mots de passe sur mobile, notes partagées : les nouveautés de Cozy Cloud

Source toolinux.com

Une chaîne pour apprendre à enseigner en ligne avec des logiciels libres

Featured

En France, un professeur s’est lancé dans la création d’une très utile et pratique chaîne Peertube destinée, principalement, aux enseignants. Une véritable sensibilisation aux logiciels libres.

Passionné de logiciels libres et d’enseignement/apprentissage en ligne, ce professeur a cherché à partager ses connaissances par le biais de vidéos, où il entend sensibiliser le plus d’enseignants possibles aux problématiques liées aux logiciels propriétaires : « C’est pourquoi j’ai commencé à réaliser ces vidéos, avec pour but de parler des logiciels libres dans la pratique de l’enseignement« .

Parmi les sujets évoqués,

Logiciels libres pour l’enseignement
Visioconférences libres avec un tableau blanc
Enseigner sans logiciels propriétaires
Faire des vidéos interactives

Son aventure est racontée dans un article de présentation publié sur LinuxFR ce 23 novembre.

La chaîne est accessible sur Peertube.

Source toolinux.com

Campagne de réemploi d’ordinateurs : deux conférences en ligne cette semaine

Featured

Des conférences sont organisées en ligne cette semaine, dans le cadre de la Semaine Européenne de Réduction des Déchets afin notamment de présenter une campagne de réemploi d’ordinateurs, avec Linux.

Le but de la campagne SERD est de « mettre en place des animations pour sensibiliser au fait de mieux consommer, mieux produire, prolonger la durée de vie des produits, jeter moins« .

La campagne de réemploi de PC est menée par Emmabuntüs, Debian-Facile, Blabla Linux et Tugaleres.com.

Deux soirées sont prévues.

Le vendredi 27 novembre de 18h00 à 19h00 : campagne de réemploi d’ordinateurs en France/Belgique
Le samedi 28 novembre de 18h00 à 19h00 : solidarité dans le réemploi d’ordintaeurs en France et en Afrique

La solution Jitsi Meet étant limitée, les organisateurs ont annoncé qu’ils vont utiliser la solution libre BigBlueButton pour la diffusion des conférences en ligne.

Tous les détails se trouvent sur cette page.

Source toolinux.com

Linus Torvalds veut un Mac ARM sous Linux

Featured

La nouvelle puce ARM d’Apple ne semble laisser personne indifférent. Et pour cause, les premiers retours sont particulièrement positifs, notamment en ce qui concerne les résultats des tests de performances. Du côté de Linux, on s’imagine même l’utiliser pour exécuter le kernel.

Linus Torvalds, créateur du noyau Linux dès 1994, a en effet récemment salué les efforts opérés par Apple sur sa puce M1. Il ne cache d’ailleurs pas qu’il aimerait bien exécuter une distribution GNU/Linux sur l’un des nouveaux MacBook récemment présentés.

Un adepte des MacBook

Récemment interrogé, sur forum Real Work Tech, au sujet des ordinateurs portables d’Apple, Linux Torvalds a expliqué : « J’adorerais vraiment en avoir un, s’il y avait Linux dessus. J’ai plutôt de bons souvenirs du MacBook Air 11 » . Avant d’ajouter qu’Apple a toutefois fait en sorte qu’on ne puisse pas y exécuter facilement Linux.

Dans un autre fil de discussion, Linus Torvalds réagit aux premiers tests de performances effectués sur le nouveau Mac Mini disposant de la puce M1. Il affirme alors : « ça a l’air vraiment bien. Je suis réellement impressionné par l’efficacité de Rosetta 2. Bien plus que je ne le pensais ».

Rappelons que Rosetta 2 permet d’exécuter, sur les nouveaux Mac ARM, les applications x86-64 initialement conçues pour les Mac dotés d’un processeur Intel.

Linus Torvald rêve d’un Mac sous Linux sans bidouille

À 51 ans, Linus Torvalds serait-il las de bidouiller ses machines ? En tout cas, si l’adepte des MacBook aimerait bien une machine fonctionnant sous Linux, il n’est pas près à mettre les mains dans les entrailles de la bête.

« Cela fait longtemps que je veux un ordinateur portable ARM pouvant exécuter Linux. Le nouveau Air serait presque parfait, mis à part l’OS. Et je n’ai pas le temps de le bidouiller, ni l’envie de me battre avec des sociétés qui ne veulent pas aider ».

Clairement, il n’est pas dans les intentions d’Apple de permettre aux développeurs Linux d’utiliser ses nouvelles machines. Toutefois les propos de Linus Torvalds sonneraient presque comme un appel à la communauté pour voir ce qu’il est possible de faire sur ces MacBook.

Source clubic.com

Firefox : quoi de neuf dans la version 83 ? Est-ce la fin de Flash ?

Featured

Firefox 83 est disponible. Ce sera l’avant-dernière édition à supporter le greffon Flash, qui s’éteindra en janvier prochain. La Fondation lance une grande consultation publique sur le DoH.

La version 83 de Firefox vient d’être livrée il y a quelques jours sur le canal stable du navigateur, à destination de Linux, de macOS et de Windows. La liste des nouveautés est publiée sur le site officiel, mais plus en français.

Parmi les nouveautés, on peut citer :

Une plus grande vitesse d’utilisation grâce à des mises à niveau importantes de SpiderMonkey, le moteur JavaScript de Firefox. Le gain de performances atteint jusqu’à 15% (réactivité) et la réduction de l’utilisation de la mémoire atteint jusqu’à 12% ;
Un mode HTTPS-Only. Une fois activé, la fonction s’assure que la connexion au serveur est toujours sécurisée ;
Le zoom par pincement sur les écrans tactiles Windows et via le pavé tactile sur mac, mais pas sous Linux pour l’instant ;
De nouvelles commandes rapides via le clavier pour le mode Picture-in-Picture des vidéos ;

Flash, c’est bientôt fini !

Le 26 janvier 2021, Firefox annoncera fin de la prise en charge d’Adobe Flash. La transition aura duré près de 4 ans.

La prochaine version (84) de Firefox sera donc la dernière version à prendre en charge le greffon. Le 26 janvier 2021, la version 85 de Firefox sera livrée sans prise en charge de Flash. Tout ira un peu plus vite sur les canaux bêta et nightly, puisque « la prise en charge de Flash prendra fin respectivement le 17 novembre 2020 et le 14 décembre 2020« .

Impossible de revenir en arrière : il n’y aura pas de réglage pour réactiver le support Flash. D’ailleurs, le plugin Adobe Flash cessera de charger du contenu Flash après le 12 janvier 2021.

Une enquête sur l’implémentation du DoH

Nous vous l’annoncions en mars dernier : Mozilla a déployé le DoH aux États-Unis et à la demande dans le reste du monde. Une concertation internationale et publique vient de démarrer à ce sujet. Elle va durer 45 jours, du 19 novembre 2020 au 4 janvier 2021. Objectif de la Fondation : « Que le DoH devienne aussi omniprésent pour le DNS que l’HTTPS l’est pour le trafic web et qu’il soit soutenu par les FAI, les opérateurs mobiles et les entreprises à travers le monde. »

Une série de questions détaillées est disponible sur cette page (en PDF). Il n’est pas obligatoire de répondre à toutes les questions. Toutes les réponses peuvent être soumises en format texte ou PDF à l’adresse e-mail suivante : doh-comment-period-2020@mozilla.com.

Source toolinux.com

Ubuntu Web Remix, une alternative à Chrome OS, disponible en bêta

Featured

Si l’idée d’une machine équipée de Chrome OS vous fait de l’oeil, regardez également du côté d’Ubuntu Web Remix.

Ce tout nouveau fork de l’OS de Canonical tente justement d’offrir une alternative.

Ubuntu Web Remix

C’est précisément ce que tente de faire Rudra Saraswat, le créateur de l’interface Ubuntu Unity, au sein d’un nouveau fork officieux d’Ubuntu. Ubuntu Web Remix repose sur l’édition à support étendu 20.04 LTS (Focal Fossa).

Cette distribution accueille l’environnement de bureau GNOME en version 3.36 et permet d’installer non seulement des applications web, mais aussi des fichiers .deb traditionnels. Notons d’ailleurs que les développeurs ont conçu un outil permettant de créer des applications web afin de les encapsuler dans des fichier .wapp. Ces derniers peuvent ensuite être publiés au sein du Wapp store.

Quelques titres sont déjà proposés, comme Twitter, Facebook, Instagram, YouTube, le réseau social décentralisé Mastodon ou encore Opendesktop.

Notons également la présence d’Andbox, permettant exécuter les fichiers .apk des applications Android. À l’heure actuelle, cette dernière fonctionnalité est encore au stade d’expérimentation. Rudra Saraswat prévient alors qu’il est possible de rencontrer certains problèmes au travers du live CD.

Ubuntu Web Remix est au stade bêta. D’ailleurs, il n’existe pas encore de site dédié. Il est possible de l’essayer en récupérant le fichier iso ici ou .

Source 9to5linux