Comment installer le terminal Ubuntu sur Windows 10

Featured

Canonical vient de publier un tutoriel d’assistance à destination de ceux qui souhaitent bénéficier du fabuleux terminal Ubuntu, disponible gratuitement pour Windows 10. Mode d’emploi.

Comme tout utilisateur de Linux qui se respecte, vous savez que le terminal est l’endroit par excellence où la magie opère. Qu’on parle de gestion de fichiers, de développement d’administration à distance, des milliers de tâches sont disponibles depuis le terminal Ubuntu.

Ces fonctions, on les retrouve désormais dans le terminal Ubuntu de Windows 10. Quelques exemples :

gestion de paquetages (packages), de mises à jour et de la sécurité ;
Bash, Z-Shell, Korn et d’autres environnements shell sans machine virtuelle ou dual boot ;
exécution d’outils natifs comme SSH, git, apt, dpkg depuis un ordinateur Windows.

Installer Ubuntu Terminal sur Windows 10

Vous devez disposer de Windows 10 avec la mise à jour « Windows 10 Fall Creator update » (octobre 2017), car elle inclut le fameux Windows Subsystem for Linux nécessaire pour faire tourner le terminal Ubuntu. Depuis le Microsoft Store, cherchez le terme Ubuntu et, dès que vous avez trouvé l’application, cliquez sur Installer.

Voilà. Ubuntu peut être lancé comme n’importe quelle autre application Windows 10 depuis le menu d’applications. La première exécution est la plus longue, à cause de la phase d’initialisation et d’installation. Vous devrez simplement définir un nom d’utilisateur et un mot de passe propres à Ubuntu.

Consultez le tutoriel depuis le site officiel de Canonical.

Source toolinux.com

chApril

Featured

Éditorial

Le site chapril.org est la contribution de l’April au Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires (CHATONS). Le projet vise à rassembler des acteurs proposant des services en ligne libres, éthiques, décentralisés et solidaires afin de permettre aux utilisateurs de trouver – rapidement – des alternatives aux produits des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), entre autres, mais respectueux de leurs données et de leur vie privée.

Les services sont proposés gratuitement et librement. Toute personne peut utiliser ces services dans le cadre des Conditions Genérales d’Utilisation.À propos de ce site

Les services

La liste sera actualisée au fur et à mesure.

Planifier un rendez-vous ou prendre une décision : date.chapril.org

Rédiger collaborativement du texte en ligne : pad.chapril.org

Partager des textes de manière confidentielle : paste.chapril.org

Pour échanger des messages sur Mastodon : pouet.chapril.org

Cha ronronne !

Pour connaître l’état de nos services : status.chapril.org

Beau chaton

Apéro April Marseille

Featured

Trouvez la meilleure date pour le prochain Apéro April Marseille.

Un apéro April consiste à se réunir physiquement afin de se rencontrer, de faire plus ample connaissance, d’échanger, de partager un verre et manger mais aussi de discuter sur le logiciel libre, les libertés informatiques, fondamentales, l’actualité et les actions de l’April…
Un apéro April est ouvert à toute personne qui souhaite venir, membre de l’April ou pas.
N’hésitez pas à venir nous rencontrer.

L’adresse:
Foyer du peuple 50 rue Brandis 13005 Marseille
Le sondage prendra fin le 23 août 2019

Sondage – Apéro April Marseille

L’April auditionnée par le Sénat sur la souveraineté numérique mardi 9 juillet 2019

Featured

Convoquée par la commission d’enquête sur la « souveraineté numérique » du Sénat, l’April — représentée par son chargé de mission affaires publiques Étienne Gonnu — sera entendue le mardi 9 juillet 2019 entre 15 h et 16 h 30 sur les libertés numériques, aux cotés de La Quadrature du Net et de l’ISOC France (Internet Society). L’audition sera diffusée en direct sur le site du Sénat et sera disponible en vidéo ultérieurement.

Créée à partir d’une proposition de résolution (en PDF) du groupe Les Républicains du Sénat datée du 19 mars 2019, cette commission d’enquête a pour objectif de « mener une réflexion approfondie pour identifier, d’une part, les champs fondamentaux de notre souveraineté numérique, qu’elle soit individuelle ou collective, et pour esquisser, d’autre part, les moyens de la reconquérir, qu’ils relèvent de la réglementation ou de la mise en œuvre de politiques publiques ».

Source april.org

Debian 10 disponible : Linux 4.19, Secure Boot, AppArmor et Wayland par défaut

Featured

Comme prévu, Debian 10 est sortie samedi. Nommée Buster, elle fournit une importante modernisation de la distribution, d’autant plus significative que Debian sert de base à de très nombreuses distributions, dont Ubuntu.

Debian 10 repose sur un noyau Linux 4.19 et embarque GNOME 3.30, KDE Plasma 5.14, Cinnamon 3.8, LXDE 0.99.2, LXQt 0.14, MATE 1.20 et Xfce 4.12. On remarque l’ajout de LXQt, un environnement léger pensé pour les machines peu puissantes.

GNOME Shell est toujours aux commandes par défaut, mais avec une différence majeure cette fois : Wayland remplace X.org (toujours présent) comme serveur graphique. Un mouvement qui devrait encore accélérer son adoption.

Les architectures supportées sont toujours aussi nombreuses : i386, amd64, arm64, armel (ARM EABI), ARMv7, MIPS, mipsel, miçps64el, ppc64el et System z (IBM).

Comme d’habitude avec une distribution Linux, tous les paquets ont été mis à jour. On note en particulier LibreOffice 6.1, Calligra 3.1, GNUcash 3.4, Chromium 73, Firefox et Thunderbird 60.7, Python 3.7.2, Rustc 1.34, MariaDB 10.3, GNU CC 7.4 & 8.3, GnuPG 2.2, Emacs 26.1, Linux kernel 4.19 et GIMP 2.10.8.

Le cas de Firefox résume à lui seul la philosophie de Debian : une modernisation importante, mais des versions à support allongé quand c’est possible. Firefox 60 est ainsi la dernière version ESR (Extended Support Release) en date. Thunderbird ne se base que sur des composants ESR de Firefox et suit donc le mouvement.

Debian 10 embarque en tout 57 703 paquets, soit 13 370 de plus que Debian 9. 35 532 ont été mis à jour, tandis que 7 278 ont été supprimés. Ces derniers sont signalés comme obsolètes dans les outils de gestion de paquets. Important : 91 % des paquets de Buster disposent de binaires identiques au bit près, permettant une vérification d’authenticité pour les utilisateurs qui le souhaitent.

Parmi les autres apports majeurs, signalons en outre pour la première fois dans Debian le support officiel du Secure Boot de l’UEFI, l’activation par défaut d’AppArmor, l’inclusion de la méthode https pour APT et l’installation par défaut pour ce dernier de la sandbox seccomp-BPF.

Notes de version de Debian 10 

Télécharger Debian 10

Source nextinpact.com

Adoption d’un amendement pour une meilleure formation des fonctionnaires à l’utilisation des logiciels libres

Featured

Mercredi 26 juin 2019 le Sénat a adopté en séance publique, contre l’avis du gouvernement, un amendement au projet de loi de transformation de la fonction publique afin de « sensibiliser les fonctionnaires à la connaissance et à la compréhension des enjeux liés à l’écosystème numérique », notamment en les informant « sur l’utilisation de logiciels libres ». Nous remercions les sénateurs et sénatrices, notamment Mme Catherine Morin-Desailly, Mme Laure Darcos et M. Pierre Ouzoulias qui, dans la suite des débats sur le projet de loi pour une école de la confiance, continuent à agir en faveur de l’utilisation du logiciel libre au sein de la fonction publique.

L’amendement 368 rectifié portant sur l’article 22 bis du projet de loi, déposé par la sénatrice Catherine Morin-Desailly (Union Centriste), défendu par la sénatrice Laure Dardos (Les Républicains) et soutenu par le sénateur Pierre Ouzoulias (Groupe Communiste Républicain Citoyen et Écologiste) 1, a été adopté contre l’avis du gouvernement. Il modifie l’article 22 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, article relatif au droit à la formation professionnelle.

Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

… – L’article 22 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Les personnes publiques mentionnées à l’article 2 veillent à sensibiliser les fonctionnaires à la connaissance et à la compréhension des enjeux liés à l’écosystème numérique ainsi qu’aux modalités de protection des données personnelles. Elles les informent sur l’utilisation de logiciels libres et de moteurs de recherche qui garantissent la neutralité des résultats et la protection de la souveraineté nationale. »

Lors des débats sur le projet de loi pour une école de la confiance, la sénatrice Morin-Desailly avait déposé et obtenu l’adoption d’un amendement similaire pour que les élèves enseignants soient formés « à la maîtrise des outils et ressources numériques, à leur usage pédagogique ainsi qu’à la connaissance et à la compréhension des enjeux liés à l’écosystème numérique ». Lors des débats en séance publique elle avait déjà signifié son intention de porter le sujet dans le cadre du projet de loi de transformation de la fonction publique.

Next INpact a informé sur le sujet (accès réservés aux personnes abonnées) et a publié les premières réactions de l’April suite à l’adoption de l’amendement 368 rectifié :

Une politique publique ambitieuse de souveraineté numérique ne pourra faire l’économie de l’accompagnement des fonctionnaires vers l’utilisation de logiciels libres et de formats ouverts, conditions de base d’une informatique plus respectueuse de leurs libertés et de celles des citoyens et citoyennes. L’adoption de cet amendement va dans ce sens et doit être saluée.

Nous remercions les sénateurs et sénatrices, notamment Mme Morin-Desailly et M. Ouzoulias qui, dans la suite des débats sur le projet de loi pour une école de la confiance, continuent à agir en faveur de l’utilisation du logiciel libre au sein de la fonction publique. Malheureusement, en refusant de soutenir cet amendement, le gouvernement démontre une fois de plus son incapacité à pleinement se saisir d’enjeux qui dépassent largement la simple question des outils mais répondent à d’importantes considérations d’intérêt général. L’approche pragmatique revendiquée par le gouvernement traduit en réalité un dogmatisme dangereux.

Étienne Gonnu, chargé de mission affaires publiques pour l’April

Même si la disposition ne passera sans doute pas, ou difficilement, le cap de la commission mixte paritaire, elle participe d’un signal important envoyé au gouvernement qui doit se saisir de l’enjeu des libertés informatiques au sein de la fonction publique. Les récentes auditions du secrétaire d’État au numérique Cédric O, et du directeur de la DINSIC (Direction interministérielle du numérique et du système d’information et de communication de l’État), Nadi Bou Hanna, dans le cadre de la commission d’enquête sur la souveraineté numérique sont remplies d’approximations et de contradictions et indiquent une méconnaissance de ce qu’est réellement, en 2019, le logiciel libre avec, malheureusement, une perception encore trop basée sur les seuls « usages » techniques.

L’April aura l’occasion de nourrir les réflexions des sénateurs et sénatrices à l’occasion de son audition, mardi 9 juillet 2019 à 15 h 30, par la commission d’enquête sur la souveraineté numérique. L’audition sera diffusée en direct sur le site du Sénat.

Source april.org

Firefox dégaine sa nouvelle Preview pour Android, basée sur GeckoView

Featured

On savait que Mozilla préparait une toute nouvelle mouture de son Firefox pour Android. Depuis hier soir, la bêta en est disponible.

Comme prévu, ce nouveau navigateur intègre son propre moteur GeckoView. Principal résultat ? La hausse des performances. Selon Mozilla, elles sont jusqu’à doublées par rapport au Firefox actuel. Un chiffre à vérifier quand la version stable sera là, mais le navigateur est clairement plus rapide à l’usage.

L’interface est au passage révisée, avec un écran d’accueil proposant tous les principaux réglages : thème, connexion au compte, vie privée, etc. La barre de navigation est en bas, ce que l’on apprécie vite sur grand écran. Elle est accompagnée d’un petit tiroir s’ouvrant sur les fonctions de partage et de marque-page.

Il est également probable que l’avenir de Firefox Focus soit compromis, car cette Preview en intègre les mécanismes de protection contre le suivi publicitaire sont tous activés par défaut. Ce qui participe d’ailleurs sans doute à la vitesse de chargement des pages. L’éditeur précise que le développement de Focus est actuellement en pause.

Firefox Preview propose également des Collections, des ensembles de sites que l’utilisateur compose selon ses envies. Elles sont ensuite disponibles depuis l’écran d’accueil et permettent de retrouver facilement un site par thématique, ou même de partager directement une Collection complète avec un contact.

On ne sait pas quand Mozilla compte publier la version finale de ce navigateur. L’éditeur évoque des travaux pour le reste de l’année 2019, suggérant qu’il faudra encore attendre plusieurs mois.

Tester Firefox Preview (Android 5.0 minimum).

Source nextinpact.com

Raspberry Pi 4 : le détail des nouveautés apportées à Raspbian, basé sur Debian 10 (Buster)

Featured

Qui dit nouveau Raspberry Pi dit nouvelle version de Raspbian, son OS officiel basé sur Debian. Si de nombreux petits changements sont au programme, il faut également faire attention à quelques points.

Avec l’arrivée du Raspberry Pi 4, le système d’exploitation officiel du micro PC devait lui aussi évoluer. Disponible depuis le début de la semaine, sa nouvelle version a droit à un billet de blog détaillé, revenant sur les améliorations apportées.

Tout d’abord, la fondation explique son choix de Debian 10 qui doit seulement être finalisée d’ici la première semaine de juillet. Une publication en avance de phase assez peu courante, mais jugée nécessaire. En effet, le pilote OpenGL open source nécessaire au Raspberry Pi 4 et sa partie graphique Video Core VI fait partie intégrante de Debian 10.

Source nextinpact.com

Firefox 69, comment activer la protection Fission ?

Featured

La dernière version de Firefox Nightly propose la prise en charge d’une nouvelle fonctionnalité nommée « Fission ». Elle est censée renforcer la sécurité lors de la navigation sur le Web. Son fonctionnement est de mettre en œuvre une exécution des iframes intersites dans différents processus. En clair elle œuvre a isoler certains processus limitant ainsi les risques.

Cette approche n’est pas une nouveauté. Elle est présente dans d’autres navigateurs comme Google Chrome. Elle se nomme dans ce cas « isolation de site ». Techniquement, cette sécurité permet de bloquer les attaques reposant sur des failles connues mais aussi des vulnérabilités non divulguées. Cette approche a fait les gros titres l’année dernière lors de divulgation des failles Meltdown et Spectre. Elle a dévoilé que des efforts supplémentaires étaient vitaux pour protéger les PC même contre des imperfections inconnues.

L’isolation de site est activée par défaut dans Google Chrome. Chez Mozilla « Fission » sera bientôt d’actualité mais pour l’heure cette technologie débarque seulement dans Firefox Nightly. L’objectif est d’accomplir des tests.

Le projet Fission a été annoncé en février 2019. Nika Layzell, ingénieure dans l’équipe de développement du moteur Gecko de Firefox, explique  explique

« Notre objectif est de créer un navigateur sécurisé contre les vulnérabilités connues, mais aussi doté de couches de défense intégrées contre les vulnérabilités futures. Pour ce faire, nous devons réorganiser l’architecture de Firefox et prendre en charge l’isolation complète du site. Nous appelons cela le « Project Fission ». »

Le Project Fission est en cours de développement mais une Preview est testable dans la dernière version de Firefox Nightly (v69.0a1 du 23/06/2019 64-Bit).

Navigateur Firefox Nightly de Mozilla et la fonction Fission

Firefox NightlyDécouvrez en avant-première notre navigateur web de prochaine génération et aidez-nous à en faire le meilleur navigateur possible : essayez Firefox Nightly. La version Nightly est une plateforme instable de test et de développement. Par défaut, des données seront envoyées à Mozilla (et parfois nos partenaires) pour nous aider à traiter des problèmes et essayer des idées.

Source Mozilla

Firefox Nightly, comment activer la protection Fission ?

Il est nécessaire de l’activer manuellement car aucune option dédiée dans les paramètres n’est encore disponible. Pour ce faire, il fait se rendre dans la barre d’adresse puis taper

about:config

Navigateur Firefox Nightly de Mozilla et la fonction Fission

Ensuite, utilisez la zone de recherche en haut pour rechercher « fission ».

Navigateur Firefox Nightly de Mozilla et la fonction Fission

Normalement plusieurs entrées sont disponibles


fission.autostart
fission.frontend.simulate-events
fission.frontend.simulate-messages
fission.preserve_browsing_contexts
fission.rebuild_frameloaders_on_remoteness_change

Sur la ligne « fission.autostart » un simple  « clic » sur Toggle  vous permet alors de basculer son paramétrage de False (inactive) à True (active). Pour revenir en arrière il faut cliquer sur Reset.

Navigateur Firefox Nightly de Mozilla et la fonction Fission

Attention, Fission est en cours de développement si bien que des bugs sont de la partie. Ils peuvent être importants au point de rendre inaccessible certains sites Web ou de faire planter le navigateur. Des discutions sont disponibles sur reddit à ce sujet. Certains affirment que la navigation est encore plus rapide après l’activation de cette fonctionnalité, mais d’autres se plaignent de plantage et défaillance.

Mozilla ne propose pas de calendrier de publication concernant cette nouveauté. Si les tests se déroulent sans gros souci la publication du version bêta est envisageable dans les prochaines semaines.

Source ginjfo.com

Ubuntu revient en partie sur son passage forcé au tout 64 bits

Featured

La récente décision de Canonical de se passer de moutures 32 bits pour Ubuntu 19.10 et les versions ultérieures crée plus de remous que prévu. Valve prévoit de couper le support de la distribution pour Steam alors que Wine est bien embêté.

La semaine dernière, Canonical annonçait l’inévitable : dès la prochaine version d’Ubuntu, attendue comme d’habitude pour octobre, le système ne sera plus disponible qu’en 64 bits. Cette décision rejaillit tant sur les variantes officielles (Kubuntu, Xubuntu, etc.) que les distributions dérivées, dont Mint. Elle entraine donc de nombreux systèmes dans son sillage.

Elle était cependant prévisible, car le matériel purement 32 bits est devenu très rare et des plateformes importantes ont déjà fait le grand saut ou s’y préparent activement (macOS par exemple). Les avantages sont nombreux en termes de sécurité, de performances et surtout de maintenance, puisque de nombreux paquets ne nécessitent alors plus d’entretien.

Pourtant, ce sont bien ces paquets dont dépendent certaines applications, et pas des moindres.

Source nextinpact.com